Collaborateur culturel (notamment de cinéma) à La Repubblica, Mario Serenellini connaît bien la situation dans laquelle se trouve le court métrage de son pays, l’Italie. Il a accepté d’être le participant unique d’une discussion improvisée sur l’état du court en Europe. Même, il s’est proposé d’endosser les identités des journalistes manquants et de prendre les accents appropriés ! Interview surréaliste ferroviaire en rentrant de Clermont-Ferrand.